De formation classique, Schoubert découvrira le jazz et New-York, en s’embarquant sur le paquebot Liberté, où il est pianiste dans l’orchestre de bord. Mais Schoubert a le mal de mer. C’est comme pour la danse, le bateau n’est pas vraiment son truc! Cette...
Lire la suiteNous sommes en 1953... Bals populaires, entractes de cinémas, brasseries, cabarets… Jean Schoubert se fait, sur la terre parisienne un itinéraire déjà digne d’un vrai routier du spectacle… A Montmartre, on le voit « Chez ma Cousine » , ou au « Tire-Bouchon...
Lire la suiteFernand Raynaud devient très vite populaire. Ce jour-là, fébrile, Schoubert pousse pour la première fois la porte des 3 Baudets, près de la place Blanche. Cet endroit qu’on appelle à juste titre, le tremplin du music-hall, est orchestré par un grand professionnel,...
Lire la suiteMais avec un partenaire tel que Fernand Raynaud, ce n’est plus une tempête, mais un séisme que va devoir affronter Schoubert… Fernand se familiarise très vite avec cet outil encore artisanal qu’est la télévision française, avec son unique chaîne. Voilà...
Lire la suiteSchoubert fut le témoin privilégié de ce qui inspira la plupart des sketchs de Fernand Raynaud. La peur chronique qu’avait Fernand de l’avion donna le sketch intitulé «le baptême de l’air ». Le fameux « y’a comme un défaut » caricaturait ses éternels...
Lire la suiteFernand Raynaud et Jean Schoubert à Marseille Un personnage aussi original que Schoubert devait bien, tôt ou tard, inspirer quelques idées à Fernand Raynaud. Le sketch «Le racket » est né d’une anecdote entre Schoubert et le célèbre gangster Antoine Guérini....
Lire la suiteCe sketch fameux est directement inspiré d’une rencontre entre Fernand et le véritable «tonton» de Schoubert, un brave homme, hôtelier de son état, qui, téléphonant en présence de Fernand Raynaud, désignait Schoubert sous le nom de « Nono »(Jeannot)....
Lire la suiteEt il y eu bien sûr les autres sketches, vengeurs, dénonciateurs, d’un Fernand Raynaud devenu corrosif… Ce qui était bien dans le ton des années 68. Le sketch du douanier-qui-n’est-pas-un-imbécile n’avait rien à voir avec une réponse vengeresse à l’un...
Lire la suiteFernand Raynaud, au temps où il venait souvent à Paris, trouvait pratique de venir répéter chez les parents de Schoubert, au 53, rue Lepic non loin de ce qui s’appelait alors le théâtre Maubel, rue de l’Armée d’Orient, où l’on présentait alors des opéras...
Lire la suiteJean Schoubert et Maurice Fanon Les inconditionnels de Maurice Fanon, sur scène, se rappellent encore, ce dernier encourageant son pianiste d’un « Va, mon Schoubert! » pensant peut-être qu’il s’agissait là d’un comparatif flatteur, sinon impertinent,...
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